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Evelyne Winocq Debeire

Evelyne Winocq Debeire
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16 mai 2013

La flamme bleue

Le livre "La flamme bleue" vient de paraître aux éditions Les arêtes.
Il est magnifique !
 
 
Vous pouvez le voir sur editionslesaretes.wix.com (poèmes de la nuit II)
ou encore sur areteseditions.blogspot.fr
 

2013-04-29+16

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Jeanne1

MARIA CARPI

poétesse brésilienne, est née à Guaporé (1939) dans l´État de Rio Grande do Sul. Professeur, avocate, et auteur de Nos gerais da dor (Movimento, 1990), Desiderium Desideravi (Movimento, 1991), Vidência e acaso (Movimento 1993), Os cantares da semente (Movimento, 1996), O  caderno das águas (WS Editor, 1998), A migalha e a fome (Vozes, 2000), A força de não ter força (Escrituras, 2003), As sombras da vinha (Bertrand do Brasil, 2004), O herói desvalido (Bertrand do Brasil, 2005).


Elle a participé à plusieurs anthologies et revues spécialisées. Maria Carpi a été membre non seulement du Conseil de l´État pour les  Droits de l´Enfant et de l´Adolescent, en qualité de représentante de la Défense Juridique gratuite, de l´Ordre des Avocats du Brésil du Rio Grande do Sul/OAB-RS, mais aussi, pendant deux ans, de l´Association des Écrivains Gaúchos au Conseil de l´État pour la Culture.

HELENA FERREIRA,  

 brésilienne, née à Rio de Janeiro.
Formée aux lettres Néo-latines à l’Université nationale de Philosophie, de la vieille Université du Brésil, aujourd'hui Université des Lettres de l'Université Fédérale de Rio de Janeiro où elle a enseigné la langue et la littérature espagnole.
Elle a collaboré à plusieurs journaux, magazines, des anthologies et des manuels, au Brésil comme à l’étranger.
Elle a traduit pour le portugais Nuevo descubrimiento del gran río de las Amazonas du prêtre Cristobal de Acuna  1641), qui appartient à la collection de la Fondation de la Bibliothèque nationale.

 

 En 2005 l'Union  brésilienne d'Auteurs / UBE-RJ lui a accordé son  Prix "Lygia Moura Rasi" pour la traduction espagnole du livre Dança do fogoestudo sobre o desejo, de Sílvia Jacintho .  Et, en 2011, le prix  Almeida Guilherme pour l’ensemble de ses traductions du portugais en  espagnol, français et italien et vice versa.

 

En plus d’être traductrice, elle est  poétesse et essayiste, et membre du P.E.N club du Brésil
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7 février 2013

Les arêtes

Projet en cours...

 

"La flamme bleue" de Maria Carpi, à paraître chez Les Arêtes, pour le Salon du Livre de Paris.

http://editionslesaretes.wix.com/lesaretes3#_catalogue

20 exemplaires comprenant chacun une peinture originale.

17 février 2012

Salon du livre 2012

Almagra éditions seront présentes au Salon du Livre de Paris, Porte de Versailles, du 16 au 19 mars prochain, sur le stand Région Pays de la Loire (au sein de la partie collective réservée aux petits éditeurs). N'hésitez-pas à venir voir nos publications. Vous serez les bienvenus !

8 avril 2010

En projet

A paraître en juin 2010 :

Ereintement du geste,
suivi de
Eugène Leroy, à propos de lui
par Evelyne-Winocq Debeire.


Ces écrits font suite à Trois couleurs - Un trait noir,
Notes de saveurs, suivi d'Immersion, parus aux Éditions Paupières de terre.


Cet ouvrage sera le premier d'Almagra éditions.

Suivi du projet, souscription... sur : http://almagraeditions.canalblog.com

1 mars 2010

La Très Petite Librairie

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8 février 2010

La Très Petite Librairie

socillu  Dans le cadre du Printemps des Poètes, la Très Petite Librairie présentera du 3 mars au 25 avril 2010, les encres et aquarelles du livre Un hiver comme un autre, écrit par Franck Cottet, illustré par Evelyne-Winocq Debeire et édité par Soc et Foc.
Le vernissage et la lecture auront lieu le dimanche 7 mars, le premier à  16 heures,  la seconde à 17 heures.
La Très Petite Librairie, 58, bis rue des Halles 44 Clisson. Tel. : 02.51.71.89.66. Horaires d'ouverture : du mercredi au dimanche, de 10 à 13 heures et de 14h30 à 19 h.

15 août 2009

Livres de chevet

leroy_gravures Un livre parmi ceux qui comptent pour moi...
"Eugène Leroy, Gravures 1964-1972", Westhoek-Editions 1979
Y est montré une soixantaine de gravures sur cuivre d'Eugène Leroy, aux sujets diverses tels que : portraits, autoportraits, paysages... Deux de ces estampes ("Mare" et "Neige") sont visibles au Musée du Dessin et de l'Estampe de Gravelines (59).

19 juillet 2007

"Notes de saveurs", extraits

"Turner, pour moi, avait parfois des couleurs dignes d'un verre de vin. Ce n'est bien évidemment pas cette lumière - cette translucidité - mais elle est gorgée, elle a de la matière, elle peut être comparée à du tanin. Le facteur temps apparaît là aussi à mon sens. Je pense pouvoir comparer la patine d'une peinture de Turner à la patine d'un vieux Margaux, plutôt à celle d'un vieux Sauternes - cf. Paysage avec une rivière et une baie... ou a certains paysages de Loire. Des rapports de climats, la mise-en-relation avec l'eau s'effectue."

19 juillet 2007

"Souvent, je cuisine en même temps que je

Notes_de_saveurs

"Souvent, je cuisine en même temps que je peins. J'assemble, je touille la matière colorée, je cherche les accouplements de couleurs et me lève, de temps à autre, jeter un oeil à la cuisson, goûter, ajouter de façon identique. Je lance souvent la cuisson ou la réduction d'un plat avant de commencer à peindre."

18 juillet 2007

"Immersion"

Trois_couleurs

"Je déambulais un matin dans le jardin de l'atelier des Lauves. Il est resté tel qu'on le voit sur des photos de la fin du siècle, lorsque Cézanne y peignait. C'est un jardin qui semble à la fois être à l'abandon tout en ne l'étant pas. C'est un jardin sauvage comme je les aime. En descendant sa pente, pas très loin de l'atelier, sur la gauche, se trouve une croisée d'arbres. En la découvrant, je me suis immédiatement dit "les baigneuses". Et l'image m'est apparue... C'était vers dix heures, la lumière perçait le feuillage, les verts, les jaunes, les rouges y étaient. C'est l'endroit d'où ont été peintes certaines baigneuses. J'en suis sûre. Le jardin est un lieu magique où je n'ai cessé de venir presque chaque jour, à différentes heures de la journée. Il est d'arbres et de buissons. Des parties sont plus accessibles, d'autres moins. On entend les oiseaux. Le soleil apparaît, disparaît. Je venais m'y asseoir régulièrement, écouter, regarder, renifler, aquareller. De l'atelier, on ne peut voir la montagne. Mais elle n'est plus très loin. Dès que l'on grimpe un peu, que l'on s'éloigne petit à petit des habitations. On la sent d'abord, en grimpant toujours plus haut, puis elle apparaît, et c'est véritablement une apparition. Tout comme le jardin des Lauves, j'ai arpenté le chemin du même nom plusieurs fois par jour, à différentes heures, par temps variants. Je partais souvent en dehors d'Aix, l'après-midi, prenant la route tantôt de Vauvenargues, tantôt de St-Antonin... abordant la montagne par le nord, par le sud... la reconstruisant sans cesse mentalement, corporellement."

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